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En fin de compte, il s’est avéré que le synaptamide, en interagissant avec le récepteur GPR110, a contribué à prévenir une forte augmentation de la concentration des protéines IL-1b et IL-6, ainsi que d’autres molécules de signalisation qui contribuent à la propagation de l’inflammation dans le foie après l’ischémie.
Les biologistes de l’Institut de recherche FHB sont convaincus que la combinaison du synaptamide avec certains médicaments visant à protéger les cellules rénales contre les dommages créera à court terme une thérapie avancée pour l’ischémie rénale. En outre, après des études supplémentaires, il sera possible d’affirmer que le synaptamide aidera également à lutter contre l’inflammation dans d’autres organes.